Agenda: impôts, vaccins et un peu d’air

Ecotidien vous propose désormais chaque vendredi votre agenda de la semaine et du week-end. Aujourd'hui, déclarations d'impôts, infos pour les entrepreneurs, un salon à Chartres et dans toute la France, et de nouveaux vaccins recommandés par l'OMS...

Karim, 41 ans, directeur technique, Marseille :

« J’ai visité un appartement ancien mais en plutôt bon état. Au moment de faire l’état des lieux, le propriétaire s’aperçoit que la peinture du plafond s’effrite dans la cuisine et la salle de bains. Ni une ni deux, il appelle de son portable un entrepreneur et lui demande de venir refaire l’isolation et les peintures avant mon emménagement. Je n’avais rien demandé et il n’y a eu aucune incidence sur le montant du loyer. C’était il y a trois ans, je cherche encore le piège…

Sofia,  29 ans, gérante de société, Toulouse :

« Dans mon ancien appartement, je recevais tous les ans une lettre m’informant de l’augmentation du loyer. De 560 euros à mon emménagement en 2004, j’en étais à plus de 1000 euros en 2007 à mon départ. Dans mon appartement actuel, le loyer n’a jamais été augmenté. Je ne sais pas si c’est un oubli, dans le doute je ne pose pas trop la question… »

Nadège, 33 ans, assistante de direction, Paris :

« En février, j’ai appelé ma propriétaire, une vieille dame, pour lui dire que j’étais au chômage et que je ne pourrais pas payer le loyer ce mois-ci. Elle m’a carrément fait cadeau du loyer en me disant que je la paierais quand je retrouverai un emploi ! Devant tant de gentillesse, je ne peux que jouer le jeu, je viens de trouver un job et je me remets à payer le loyer rubis sur l’ongle. »

Christelle, 38 ans, mère au foyer, Vélizy :

« Quand le ballon d’eau chaude du pavillon est tombé en panne, les propriétaires qui sont aussi nos voisins nous ont invités à prendre notre douche chez eux tous les matins le temps de la réparation. Sympa d’autant que nous sommes une famille recomposée avec 6 enfants de 2 à 13 ans… »

Eliott, 28 ans, serveur et musicien, Rennes :

« Je quittais mon premier studio et j’avais vraiment honte de l’état dans lequel je le laissais. J’avais abusé des soirées arrosées, la moquette était pleine de trous, les murs jaunis, certains meubles cassés, je m’attendais à voir ma caution gardée et des dommages et intérêts demandés. A la place, le propriétaire, un quinqua, a pris un fou rire en voyant l’état de l’apart’, et en me disant que ça lui rappelait les fêtes de sa jeunesse. Il m’a rendu ma caution en échange d’une invitation aux Transmusicales ! »

Propos recueillis par Marlène Schiappa

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